Résumé du livre
« Et si le monde n’était que perception, comment bien vivre avec une basse vision » explique comment, à travers une vie hors du commun, Olga Faure Olory a appris une vérité fondamentale : quel que soit le potentiel de départ, que l’on soit voyant, malvoyant ou aveugle, il est toujours possible d’apprendre à voir. Car la vision n’est pas une question physiologique. La vision est un regard intérieur.
La biographie raconte comment cette fille d’un brillant ingénieur décédé dans des circonstances mystérieuses alors qu’elle n’avait que deux ans, Olga est devenue malvoyante à six ans. La jeune femme, devenue mère de famille, nous mène d’Afrique en Europe puis aux Etats-Unis pour nous faire participer à ses expériences. Chacune de ses rencontres, chacun de ses défis sont pour nous l’occasion d’apprendre à voir autrement, à voir mieux.
La vitalité d’Olga est contagieuse, son courage étonnant. Surtout, ses visions sont justes. En témoigne l’Agrandi qu’elle a créé et écrit en 1995. Premier journal français pour malvoyant, ce mensuel était devenu incontournable à la fin des années 90.
« Et si le monde n’était que perception… » est conçu en deux parties : un récit autobiographique qui se lit comme un roman et des fiches conseil pour vivre sa malvoyance au quotidien. Ces petits textes très bien conçus sont destinés en priorité aux personnes ayant une basse vision. Important : il faut noter qu’il existe une version de cet ouvrage en grands caractères.